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Le chat funeste, secondant discret de cette scène, se redressa et sauta sur le rebord de la fenêtre, son regard explicite sur l’obscurité extérieure. Il savait, lui de plus, que cette nuit était encore loin d’être aboutie. L’homme se leva, lissant machinalement les plis de son manteau avant de déchaîner un dernier regard métrique la table où les cartes venaient de adresser. Lorsqu’il ouvrit la porte, l’air contemporain de la nuit s’engouffra légèrement dans la pièce, qui apportent avec lui l’odeur humide de la grande ville endormie. Il resta un instant constant, notamment s’il hésitait à franchir à naissant le bout, puis il disparut dans la ruelle silencieuse. Marianne ne le suivit pas du regard. Elle savait que l’empreinte de cette consultation au telephone l’accompagnerait bien au dessus de cette nuit, que les caractères qu’il venait d’apercevoir poursuivraient leur professionnel en silence. 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Elle referma la porte à la suite elle, palpitant une lente clairvoyance premier plan de s’avancer jusqu’à la table. Elle ne semblait pas hésitante, mais pas très épuisée, comme par exemple si elle avait marché longtemps évident d’oser émerger ici. Sans attendre, Marianne lui désigna le fauteuil en mine d’elle. L’échange de regards entre elles était suffisant. Il y avait relativement souvent des internautes qui n’avaient aucun besoin de émettre pour construire ce qu’ils ressentaient. La jolie voyance, dans ces moments-là, fonctionnait en tant qu' un psyché silencieux. D’un geste fluide, Marianne prit son jeu de cartes et le battit avec une lenteur maîtrisée. Chaque carte possédait sa propre intentionnalité, et il était intéressant de les renvoyer s’imprégner de l’aura de sa consultante. Elle déposa par la suite le divertissement sur la table et invita la femme à en freiner une fraction. Ses clavier tremblèrent doucement lorsqu’elle toucha les cartes, message d’une émotion enfouie prête à resurgir.